Il n’y a pas d’honneur chez les voleurs.

Négociations, bluffs et coups bas : c’est le cocktail de La Cosa Nostra, le jeu de cartes pour mafieux qui s’assument.

Vous avez 4 rounds pour parvenir au sommet de la chaîne alimentaire, en alignant le plus d’argent possible. Pour ça, appuyez-vous sur vos gangsters, vos associés véreux et vos entreprises louches. Durant le premier round, vous pouvez accomplir des affaires seuls. Mais dès le second, il faut compter sur les autres parrains, conclure des deals… ou les menacer, pour utiliser leurs avantages. Et si vous parvenez à un accord, ils seront là le jour de paie, pour toucher leur part. À vous de voir si vous voulez l’honorer.

Mais gare aux voitures piégées, aux « ruptures de contrats » pas très joviales et aux retours de bâtons (dans les rotules).

Bref… Autour de la table, c’est autant du bluff que de la négociation, des retournements de situation, desbraquages, de la planification et des coups fourrés, des interactions permanentes – mais c’est toujours intense, comme un jour d’anniversaire, quand les parrains se passent les plats, en se forçant à sourire.

Il y a des amitiés qui n’y survivront pas. Mais ce sont les affaires, après tout.